Madame la secrétaire d'État, je vous remercie de votre réponse extrêmement précise et détaillée.
Toutes ces actions doivent être menées en étroite relation avec la profession castanéicole. Bien souvent, comme c'est le cas dans les communes des Alpes-Maritimes que vous mentionnez, la culture de la châtaigne, qui se fait dans les zones les plus fragiles en termes d'exploitation agricole, voisine avec d'autres productions, comme l'élevage de chèvres, qui, elles aussi, connaissent des situations difficiles d'exploitation.
Comme vous l'avez souligné, la coopération avec l'Italie est déterminante. Il est en effet essentiel qu'une coordination européenne puisse voir le jour – et je crois que telle est la volonté du ministère de l'agriculture – car des risques potentiels existent aussi dans des pays comme l'Espagne.