Tout à fait, et l'on ne dit rien parce que ces charges sont financées par les impôts locaux.
J'ai ainsi entendu un cantonnier donner raison à la commission des finances et se plaindre de passer une partie de ses journées à ramasser des sacs en plastique non biodégradables le long des routes. Pour les non-spécialistes, je rappelle qu'un sac en plastique biodégradable met, grâce à l'action de l'amidon, moins de six mois à se décomposer.
Nous devons donc tenir bon, mes chers collègues, pour faire disparaître les sacs en plastique non biodégradables.