Certains m'opposeront que la règle est trop complexe et son application ardue à suivre. Précisément : nous nous sommes efforcés de la simplifier au maximum. Dès lors, nul ne peut plus prétendre privilégier l'économie de production et le réinvestissement des bénéfices aux dépens de la distribution des dividendes aux actionnaires et, dans le même temps, refuser une telle modulation de l'impôt sur les sociétés.