Monsieur le secrétaire d'État, vous comprendrez bien que je ne peux aller dans votre sens. Nous nous sommes aperçus depuis longtemps que dans les CREPS, le « p » de physique est devenu le « p » de populaire. Comment ces établissements peuvent-ils être « abandonnés » par l'État ? Nous connaissons la difficulté de rassembler localement les collectivités territoriales pour prendre en main un tel outil, pourtant si nécessaire.
Si ce CREPS de Mâcon, sans conteste le plus performant – je le dis sans flagornerie – en Lyonnais-Mâconnais, disparaît, tous les autres alentour disparaîtront également, jusqu'à celui de Vichy, sauf erreur de ma part. Que restera-t-il en Bourgogne du Sud ? Ce sera une catastrophe.
Je terminais ma question, en souhaitant que s'instaure une véritable concertation existe, y compris avec les personnels. En effet les collectivités territoriales ne descendent pas toujours dans ce genre de débat à la rencontre de celles et ceux qui, depuis 1966, en ce qui concerne le CREPS de Mâcon, font vivre de façon remarquable la préparation sportive, la préparation d'éducation populaire et de jeunesse. Une visite de votre part, monsieur le secrétaire d'État, nous honorerait.