Or, certaines personnes pourront certainement rentrer dans le circuit du travail parce qu'elles bénéficieront des fonds de la formation professionnelle.
Je reconnais, monsieur le rapporteur, que cet amendement ne concerne que le fonds de péréquation, qui est de l'ordre de 300 millions d'euros et qui est déjà engagé. Mais il faut travailler sur la formation professionnelle pour imaginer un financement complémentaire au RSA. Et je suis convaincu que l'on peut aller largement au-delà de ces 30 ou 35 millions d'euros qui seront un complément indispensable.
Le mode de financement, tel qu'il est proposé aujourd'hui, même si je suis conscient qu'il est stable, va à l'encontre du message que nous adressons aux Français en faveur du travail.