Vous décidez donc, à la manière d'un pompier pyromane, d'éteindre l'incendie que votre majorité elle-même a contribué à allumer.
Vous disiez à l'instant, monsieur le Premier ministre, que l'État ferait son devoir. Nous en prenons bonne note. Après cette prise de conscience quelque peu tardive – mais il n'est jamais trop tard pour devenir socialiste (Sourires sur les bancs du groupe SRC) –,allez-vous oui ou non renoncer à engager La Poste sur le chemin de la privatisation ? (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et sur quelques bancs du groupe GDR.)