Mme Billard me donne l'occasion d'apporter une précision. Nous sommes effectivement au service de l'intérêt général, mais celui-ci n'est pas unique : il doit tenir compte de la diversité des situations et des circonstances.
Nous sommes attachés au régime de l'Alsace et de la Moselle. Une fois que ce principe est posé, chaque député conserve sa liberté d'appréciation, et il y a chez les députés alsaciens une grande diversité d'appréciation : l'intérêt général peut s'envisager selon des priorités, des critères différents.
Dire qu'en France, tout doit être régi par une seule norme est une erreur manifeste.