Ayant travaillé avec M. Diard sur l'amendement n° 184 rectifié , je veux dire que je soutiens avec force le présent amendement, qui permet de faire en sorte que des zones géographiques et des écosystèmes particuliers puissent, s'ils le souhaitent, et à titre expérimental, exclure les cultures d'OGM de leur territoire – comme l'a fait le Portugal, Mme la secrétaire d'État vient de le rappeler, et comme l'a accepté l'Union européenne.