Je réponds très précisément à la question que vous m'avez posée.
Monsieur Vidalies, j'ai dit sur France Inter, pour montrer que la situation serait plus favorable, que, s'il n'y avait pas d'accord négocié, on allait jusqu'au doublement du salaire – c'est-à-dire qu'au moins cela était garanti. Ne faites pas de ce propos une analyse trop fine. Dans mon esprit, des accords salariaux devront être signés et, à défaut d'accord, il y aura un doublement du salaire. Ne prétendez pas que, pour moi, le but, c'est de ne pas y arriver. Le verbatim oral est un petit peu ambigu mais je voulais être très clair sur ce point.