Je veux croire à la négociation, d'autant que nous disposons d'une porte de sortie. Mais je rappelle que les moyens que je veux donner à l'INPES ne constituent qu'un rééquilibrage, par rapport à ceux, considérables, dont dispose l'industrie agroalimentaire.
Quoi qu'il en soit, je prends acte de la proposition du ministre, et je l'en remercie.