Ce n'est pas suffisant, monsieur le rapporteur.
Si nous devons engager des réformes, il faut au préalable pouvoir en discuter. On ne va pas rejeter d'un revers de main des dispositifs qu'on a justifiés, à l'époque, avec les arguments exactement contraires à ceux que vous venez de développer. C'est vrai pour l'ANRU, pour l'ANAH, et pour tout le budget : vous détricotez tout ce vous avez fait en invoquant des arguments exactement inverses.
(Les amendements identiques nos 291 et 348 ne sont pas adoptés.)