Pour conclure, monsieur le président, le débat que nous avons ce matin nous offre un condensé des éléments qui font le pouvoir actuel : le glissement progressif – et à marche forcée, disons-le – vers le démantèlement du service public d'une part et, d'autre part, pour que le pays continue de fonctionner en dépit de la situation politique, économique et sociale, la tentation autoritaire que nous avons constatée ce matin à l'occasion de la reprise en main de ceux qui, parmi nos collègues de l'UMP, pourraient manifester des velléités d'indépendance et s'exprimer librement. À débattre avec nous, ceux-là finissent par comprendre que nos arguments sont les meilleurs !
(L'amendement n° 109 n'est pas adopté.)