Que les choses soient claires : il n'est pas question de remettre en cause la prise en charge des frais de scolarité. C'est une bonne mesure qui doit être poursuivie. Mais il faut faire attention à ses conséquences car il serait dommage qu'une bonne mesure au départ s'avère pénalisante pour certains. J'ajoute qu'en l'état actuel, plusieurs établissements conventionnés ou homologués risquent de remettre en cause leur convention ou leur homologation, ce qui serait fort regrettable car l'enseignement serait alors de moindre qualité, et tout le monde serait pénalisé.
Voilà pourquoi je souhaite, monsieur le ministre, que vous vous en remettiez à la sagesse de l'Assemblée.