N'en préjugez pas, monsieur le président, bien que je n'en sois pas incapable.
Madame la ministre, nous souhaitons vraiment que le Gouvernement se batte, même contre nos amis allemands, sur ce point.
Il y a tout de même un problème de distorsion de concurrence entre l'écrit et la presse en ligne, mais c'est aussi, je crois, un enjeu pour le bon fonctionnement de l'Internet et donc de la société de l'information. Nous devons avoir une garantie sur la qualité, l'authenticité de l'information, que seule la presse est capable d'apporter.
Je souhaite que nous y arrivions et, sous le bénéfice de la réponse que vous nous avez donnée tout à l'heure en nous faisant part de votre intention de vous battre en ce sens, je retire mon amendement, ainsi que l'amendement n° 268 .