Je comprends que cela coûte 6 milliards d'euros. Cela dit, cela ne représente jamais que les deux tiers des stock-options distribués aujourd'hui dans notre pays. Peut-être y aurait-il moyen d'agir sur ce point.
On nous ressert de plus l'argument de la compétitivité comme une tarte à la crème. La France est tout de même le troisième pays du monde, s'agissant des investissements étrangers et le deuxième concernant la productivité du travail. Nous ne sommes donc pas en mauvaise position. Il convient par conséquent de modifier légèrement le discours sur la compétitivité.
(L'amendement n° 169 n'est pas adopté.)