L'argument du désavantage compétitif nous est trop souvent resservi. La crise financière est telle qu'il faut davantage réguler les marchés. Or la taxe Tobin est un outil, comme l'a indiqué le rapporteur général – un outil que le Président de la République serait bien inspiré de dégainer lors des prochaines négociations européennes et internationales.