La taxation globale des stock-options varie, selon le niveau de l'impôt sur le revenu, de 42 à 64 %. Ce niveau comparable, et même parfois supérieur, à celui des autres pays, me semble désormais juste.
Je tiens à préciser que le Gouvernement ne considère pas qu'il s'agit là d'un sujet tabou. Si, lors d'une réflexion globale, il s'avérait nécessaire de réformer le système actuel, nous serions prêts à le faire. En revanche, je ne crois pas qu'il soit judicieux d'aborder la question au coup par coup, année après année et au gré de l'actualité. Nous avons opéré l'année dernière une réforme profonde et nous pourrons le faire à nouveau, à l'avenir.