Les caisses se vident encore, les déficits se creusent, de sorte qu'une dette publique représentant 90 % du PIB, voire davantage, n'est plus impossible. Les réveils seront très difficiles.
Gageons que vous allez poursuivre cette fuite en avant jusqu'à 2012. Quand ça va retomber, cela va faire très mal. Vous finirez par faire payer lourdement les Français et, comme il n'est pas dans vos dogmes ni dans vos pratiques de faire payer les plus fortunés, les Français moyens et modestes peuvent s'attendre au pire. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)