Monsieur le président, je comprends fort bien que, compte tenu des fonctions que vous occupez à Nice, vous soyez pressé de rentrer dans votre circonscription, mais j'avais demandé la parole pour un rappel au règlement. J'y reviendrai plus tard.
Auparavant, monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, j'aimerais vous conter une petite histoire faite de coups de théâtre et de rebondissements inattendus que vous goûterez, j'en suis certain, particulièrement vous, monsieur Mitterrand.
Vous êtes venu en renfort, monsieur le secrétaire d'État aux libertés, mais je ne voudrais que cela soit de mauvais augure et qu'il vous arrive ce qui est arrivé à Mme la secrétaire d'État aux droits de l'homme, qui a fini comme ministre de la pétanque.