Monsieur Vitel, j'ai déjà eu l'occasion de m'exprimer longuement à propos du second porte-avions. En toute logique, puisque la République française a décidé de le construire, il sera construit. J'ai déjà dit hier ici même qu'il convenait d'appréhender cette question dans le cadre d'une approche globale de nos crédits. Construire un second porte-avions dès à présent reviendrait à engager des tranches d'environ 500 millions d'euros.