Dès lors qu'on évoque l'Union européenne, M. Myard réagit vivement. Mais il ne s'agit pas seulement de prévoir que l'État puisse récupérer les sommes dépensées pour libérer des hommes ou des femmes qui auraient commis une imprudence. Dans la plupart des cas, les pilotes des bâtiments piratés n'ont commis aucune imprudence. Le cadre de réflexion est donc beaucoup plus vaste que celui envisagé dans l'amendement.
Je souhaiterais donc que celui-ci soit retiré. À défaut, je demanderai son rejet.