Monsieur le ministre, je vous remercie pour votre réponse.
Je ne partage pas les opinions de mon collègue Yves Durand. Je ne suis pas nécessairement favorable aux contrats aidés en général. Mais, en l'occurrence, je crains une disparition trop soudaine.
Je vais utiliser un argument très juste, souvent employé et auquel nous éprouvons des difficultés à répondre. Le jeune qui s'arrêtera de travailler perçoit actuellement environ 600 euros par mois. S'il se retrouve au chômage ou attributaire du RMI, il touchera à peu près la même chose. Je comprends parfaitement, monsieur le ministre de l'éducation nationale, que cela dépasse votre champ de compétences. Mais, quelque part, nous paierons la même chose.