Vous avez bien compris, monsieur le ministre, que nous sommes favorables, non pas à une augmentation mais à un maintien du nombre de postes. Nous souhaitons conserver ces 11 200 postes que vous voulez supprimer.
Le financement de ces heures supplémentaires masque en réalité le fait – et cela ne se sait pas assez dans notre pays – que les enseignants ont une charge de travail importante, qui bien souvent va très au-delà du temps de travail hebdomadaire habituel. Combien de collègues passent des soirées à préparer leurs cours…