La commission des finances n'a pas examiné cet amendement. Je n'aborderai donc pas spécifiquement le débat sur la scolarisation précoce. Cependant, compte tenu de la contrepartie budgétaire proposée par Mme Mazetier, je ne peux évidemment souscrire à l'amendement. Le financement de sa proposition, si l'on se réfère en outre à ses propos antérieurs, s'assimile en effet davantage à un réquisitoire contre l'enseignement privé qu'à une véritable action en faveur de la scolarisation précoce. J'y suis donc, à titre personnel, totalement défavorable.