Qu'il nous soit donc encore permis d'avancer des propositions conformes aux convictions qui nous animent et de les expliquer comme bon nous semble.
Je regrette par conséquent votre expression fâcheuse pour les propositions de M. Pérat, et l'expérience menée dans sa commune, dont je vous invite à prendre connaissance. Je suis d'ailleurs persuadée que notre collègue vous recevra volontiers dans sa magnifique école maternelle.
Cet amendement vise donc à abonder les crédits de l'école maternelle dans l'espoir que demain, peut-être, elle accueillera davantage d'enfants de moins de trois ans.