Après les attaques injustifiées de la ministre de la justice – qui n'assume pas la moindre critique sur sa gestion –, les députés de mon groupe ont besoin de se réunir afin d'arrêter leur position pour la suite de la discussion. (Vives exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
La suspension est de droit, monsieur le président !