Ce n'est pas une raison pour retenir un indicateur dont le nom est magnifique mais qui est une propriété privée, – ces droits n'ont fait l'objet d'aucun abandon – et qui a fait l'objet des plus extrêmes réserves de la part du Conseil économique, social et environnemental français pour des raisons de méthodologie. Je saisis parfaitement l'intérêt médiatique et politique du concept d'empreinte écologique mais il demeure que cet indicateur est scientifiquement compliqué et que le propriétaire refuse de le partager – ce qui est surprenant venant de gens qui se préoccupent du sort de la planète !
Attendons les conclusions du rapport Stiglitz. Je suis convaincu, comme vous, que nous retiendrons de nouveaux indicateurs mais sur celui-ci, en l'état, je ne puis qu'exprimer les plus extrêmes réserves.