En effet, le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement a accepté de modifier l'ordre du jour en ce sens par une lettre, comme je le lui avais demandé après une conversation avec vous, monsieur Gaubert – privée, il est vrai.
Deux séances devant être séparées par un délai de huit heures, nous pouvons donc poursuivre encore notre travail. Je ne vous demande qu'un petit peu de temps. Ne pouvons-nous faire l'effort d'examiner les trois amendements que nous venons de déposer, avant de lever la séance pour reprendre nos travaux à quinze heures ?