Nous avons donc aujourd'hui la possibilité non pas de remplacer le pétrole, mais, dans certains pays autosuffisants en matière alimentaire ou qui possèdent des jachères, d'utiliser et de fabriquer des produits à partir desquels on fabriquera des biocarburants. On doit agir en ce sens.
Comme Antoine Herth, j'insiste, nous sommes favorables aux biocarburants de la deuxième génération. Cette question majeure figure d'ailleurs dans certaines directives européennes. À cause d'effets de mode, on a dit des biocarburants qu'ils étaient responsables de la pénurie alimentaire mondiale.