J'arrivais à ma conclusion que je n'aurai pas l'outrecuidance de qualifier de péroraison.
Je serai plus nuancé que M. Cochet. C'est vrai, les agrocarburants de première génération, en dehors toutefois des utilisations de proximité comme l'huile végétale, ne sont pas une réussite sur le plan industriel. Il ne faut pas les condamner pour autant.