C'est ce que nous avons commencé à faire depuis plusieurs mois maintenant, en interdisant, par exemple, le cumul de mandataire social et de salariat.
Nous avons aussi demandé aux entreprises de mettre fin aux indemnités de rupture en cas d'échec des dirigeants.
Aujourd'hui, 94 % des plus fortes capitalisations françaises de la bourse ont adhéré à ces engagements, mais nous ne devons pas nous en contenter. (Exclamations sur les bancs du groupe GDR.)
Je vais vous parler de ce que vous avez appelé une « gesticulation », qui est l'action du Président de la République en direction des dirigeants des banques françaises.