Bien sûr que c'est vrai ! Je ne voudrais pas dire que vous étiez parti – mais en tout cas je l'ai fait.
Vous faites référence aux conclusions des états généraux de la dépense publique qui ont été organisés, et bien organisés, par le groupe UMP – ce dont je le remercie –, sous la présidence de Jean-François Copé et avec la bienveillante expertise de Gilles Carrez. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP. — « Et il est où, Copé ? » sur les bancs du groupe SRC.)Franchement, bravo !
J'aimerais que le groupe socialiste en fasse de même : travaillez, proposez ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. — Protestations sur les bancs du groupe SRC.) Dites-nous donc comment vousvoyez l'évolution de la dépense publique ! Toutes vos propositions ne conduisent qu'à une seule chose : augmenter les dépenses de fonctionnement. Relisez ce qui vous sert de programme : c'est comme cela que c'est rédigé ! (Vives protestations sur les bancs du groupe SRC.)
Travaillez, au lieu de critiquer ! Alors, il pourra y avoir un débat républicain entre une majorité, que je salue, et une opposition digne de ce nom. (Vives protestations sur les bancs du groupe SRC.)