Je vous rassure : ni les comptes ni la nation ne s'abandonnent ! Bien au contraire, ils se battent. Je ne sais pas, d'ailleurs, si vous avez des idées, mais, c'est une certitude, vous avez de la suite dans les idées : vous m'avez posé trois fois la question hier lors du débat sur la loi de règlement, et j'ai déjà tenté de vous répondre.