Monsieur Giacobbi, l'université de Corte ne peut pas se plaindre de la façon dont elle est traitée par l'État français. Ainsi, elle n'est pas soumise aux critères de San Remo – et vous le savez, c'est le Président de la République, lui-même, qui l'a soustraite à ces normes.
De plus, au nom des priorités absolues que sont pour nous, le développement économique de la Corse et le développement de la culture corse, l'université de Corte est puissamment aidée par l'État français. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)