Je tiens à excuser l'absence de MM. Jean Auclair et Alain Marc et à les associer, tout comme Bernard Pancher et Vincent Descoeur, à cette intervention. Monsieur Terrasse, j'ai beaucoup apprécié le caractère mesuré de vos propos sur un sujet qui nous préoccupe beaucoup.
Permettez-moi de revenir sur la philosophie de la loi relative au développement des territoires ruraux, qui a nécessité un an pour être élaborée. La gauche avait malheureusement laissé tomber depuis vingt ans la ruralité. (Murmures sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.) Le fonds de gestion de l'espace rural avait été supprimé et la Lozère – symbole de la ruralité – exclue de la PAT.