Monsieur Soisson, notre échange sur un sujet aussi grave peut être utile. Il faut éviter tout malentendu. Je ne demande pas à débattre pendant que le Président de la République et le ministre des affaires étrangères se trouvent en Libye. J'ai simplement profité de cette opportunité, Mme Pecresse étant présente, pour demander que le ministre des affaires étrangères soit auditionné par la commission des affaires étrangères au retour de son déplacement en Libye, afin qu'il en rende compte à l'Assemblée nationale. Je ne demande pas autre chose. Si j'ai bien compris votre interprétation, monsieur Soisson, vous êtes d'accord avec moi !