Je le dis franchement et simplement : autant la première observation de M. Ayrault me paraît fondée, autant il est impossible que notre assemblée puisse débattre de la situation des infirmières bulgares et de la liaison avec la Libye. Ce n'est absolument pas conforme au droit de la République française tel que tous les Présidents de la République l'ont réaffirmé ! (« Bravo ! » et applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)