Même si nous reconnaissons la qualité des établissements de santé privés d'intérêt collectif, ils ne sauraient être assimilés à des établissements publics, car il y aurait alors un risque de confusion. L'ensemble des obligations mentionnées à l'alinéa 40 de l'article 1er ne s'imposent pas forcément aux établissements privés sans but lucratif.
C'est la raison pour laquelle je demande à M. Préel de retirer son amendement.