Mes chers collègues, il n'aura échappé à aucun d'entre vous que je faisais référence à Montaigne !
Votre amendement, madame Hostalier – je le répète –, est excellent : il est donc très important que l'Assemblée puisse se prononcer sur lui. Je note seulement que nombre de nos collègues, qui siègent sur vos bancs, ont l'habitude de déposer des amendements pour se donner bonne conscience et de les retirer ensuite, n'ayant pas le courage d'assumer leurs opinions. En reprenant votre amendement et donc en soutenant votre propre texte, je vous donne l'occasion de ne pas avoir de remords.