Il a choisi l'exemple de l'Irak, mais il en existe bien d'autres. Nous recevons ainsi dans nos permanences parlementaires des gens qui sont poursuivis, pourchassés, menacés dans leur vie ou leur liberté en raison de leur religion. L'Office français de protection des réfugiés et apatrides ne les considère pas comme des réfugiés politiques, et ils ont beaucoup de difficultés à être reconnus par les institutions. Je pense notamment à une petite communauté religieuse, qui est pourchassée…