Combler ce manque représenterait une dépense supplémentaire importante, de 50 millions d'euros. Il n'y a aucune raison de faire un tel cadeau, sachant que, par la suite, une fois que le dispositif aura atteint son rythme de croisière, les industries pharmaceutiques – dont le Gouvernement soutient le développement et dont il reconnaît les contributions à l'emploi et à la recherche – bénéficieront d'aides substantielles.