Les crédits demandés pour 2008 sont comparables à ceux inscrits pour 2007, soit 75 millions d'euros. Ce montant semble plus que suffisant s'il s'agit de faire face aux dépenses imprévisibles liées aux catastrophes naturelles ou liées à des événements extérieurs pouvant nécessiter le rapatriement de Français d'un pays étranger.
Pour conclure, monsieur le secrétaire d'État, chers collègues, et pour donner suite aux observations formulées par la commission le 23 octobre dernier, je regrette que la dotation pour dépenses accidentelles et imprévisibles reste, une fois de plus, trop peu dotée…