C'est pourquoi nous avons décidé de promouvoir nos produits sans complexe. J'ai indiqué l'autre jour en souriant que je voulais être le ministre du commerce extérieur agricole et viticole. Je le serai, en allant soutenir moi-même l'exportation de nos vins. De même, nous attendons de la Commission qu'elle écoute les propositions des États membres et qu'elle évolue, pour qu'un accord soit conclu, si possible, avant la fin de l'année. Le temps est compté. Certains souhaitent qu'il intervienne sous la présidence portugaise, mais on ne parviendra à un accord que si la Commission évolue pour tenir compte de notre position.