Pour résoudre cette difficulté qui pénalise l'installation des jeunes agriculteurs, particulièrement ceux qui s'installent au 1er janvier, deux solutions sont possibles : abonder les crédits de l'année en cours pour que les DDA disposent d'un volume suffisant de droits à engager – je soutiendrai l'amendement déposé en ce sens par mon excellent collègue Marc Le Fur – ou assouplir le principe d'antériorité pour les prêts bonifiés, en considérant que la validation du plan de développement de l'exploitation justifie l'accès aux prêts bonifiés. Quelle est, monsieur le ministre, votre position sur ce point ?