Comme chacun d'entre vous, je respecte le droit de grève. Mais ma pensée va d'abord à celles et à ceux qui, demain, risquent de vivre une journée de galère. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Depuis deux mois, le Gouvernement négocie avec les organisations syndicales.