Valérie Pecresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche :
Je veux le dire clairement : je ne comprends pas comment ces amendements ont pu arriver en discussion en séance publique. En effet, si l'un d'eux était voté, il entraînerait de 120 à 500 millions d'euros de dépenses supplémentaires pour l'État.