De ce point de vue, nous partageons tous les deux le souhait de voir construire une éducation nationale moderne.
Quiconque n'appartient pas à cette maison ne peut m'accuser d'avoir desservi un seul jour les intérêts de l'éducation nationale. De vous, monsieur Roy, qui avez eu le courage de vos opinions, j'accepte beaucoup ; de la part d'autres, dont le courage n'a pas toujours été le même dans des moments difficiles, j'accepte moins. Alors, restons entre nous, et sachez monsieur Roy qu'il n'y a pas de ma part, ni de celle de la plupart de mes collègues, de volonté de démanteler l'éducation nationale.