La commission n'a pas retenu cet amendement, car il existe déjà un dispositif, adopté dans le cadre de la loi relative au travail, à l'emploi et au pouvoir d'achat, qui porte l'abattement pour la résidence principale de 20 à 30 %.
Je reconnais que la proportionnalité évoquée par M. Mallié pose problème, mais nous avons déjà fait un geste pour la résidence principale : restons-en là. La commission est fidèle à la position qu'elle avait adoptée lors de l'examen de la loi de finances pour 2008 sur un amendement similaire.