C'est pourquoi cet amendement, cosigné par 115 députés, vise à retirer la résidence principale de l'assiette de l'ISF, mais dans la limite de 400 000 euros. En clair, ceux dont la résidence principale possède une valeur supérieure à 1,3 million d'euros y perdraient, et les autres y gagneraient : dès lors, entre 80 000 et 100 000 foyers ne seraient vraisemblablement plus assujettis à l'ISF.
Je vous invite donc, mes chers collègues, à voter cet amendement.