Je tiens à dire, que dans une situation internationale difficile, les chiffres de 2007 ne sont absolument pas en défaveur de la France. Les mesures prises représentent aujourd'hui une augmentation nette de pouvoir d'achat pour 30 % des salariés. Toutefois, il est vrai qu'il y a les autres salariés. C'est pourquoi une certaine souplesse est nécessaire dans l'industrie, qui est bloquée par des contingents d'heures supplémentaires limités à quarante heures ou à quatre-vingt heures, alors que 450 000 offres d'emplois ne sont pas satisfaites.